Depuis quelques temps, l’approche des élections présidentielles au Gabon aidant, l’opposition politique locale semble soudainement agitée comme fouetter par une brise matinale. Pourtant on ne décèle en elle des candidats capables de rivaliser le pouvoir.
Mais selon des brides de propos qui ont échapper des conversations de certains opposants, on redoute encore plus une candidature du chef de l’État sortant. Et qui fait l’objet de tant de débats dans ces milieux naturellement composé d’un ramassis de mécontents issus, pour la grande majorité, des différentes sphères des systèmes politiques au Gabon depuis feu président Omar Bongo Ondimba. Ou de ces différentes tendances politiques aux approches inexistantes. Notamment chez celles qui prônent pour une non candidature du président de la République en exercice. Ces derniers évoquent un cas « d’indisponibilité sanitaire ». Alors que la Constitution du pays ne reconnais pas ce vocable dans son corollaire. Car l’état de santé d’Ali Bongo Ondimba n’obéit pas à la dite action de cas de force majeur comme on tend absolument à le faire croire au sein de l’opinion nous œuvrons nationale. Alors que l’exercice d’un pouvoir s’observe par l’exécution des actes et non de l’aspect d’un de ses détenteurs.
En effet, après avoir vainement appelé à une hypothétique « vacance du pouvoir » dans le pays, le camp de la contestation permanente paraît bien agité pour une non candidature d’Ali Bongo Ondimba à la prochaine présidentielle. Trois camps sont en opposition. Le premier est celui qui opte pour une candidature, le second, celui qui est pour une non-candidature et enfin le troisième qui oeuvre pour le maintien de la « la vacance du pouvoir ». Alors que chaque formation politique a cette possibilité de présenter à un scrutin, le candidat idéal qu’elle juge apte à défendre ses couleurs. Et le Parti démocratique gabonais, au pouvoir, entend justement appliquer cette règle universelle, font remarquer plusieurs, tant de l’opposition que de la majorité, conscientes des enjeu électoraux à venir.
Il faut reconnaître pour ce faire que l’agitation sénile et soudaine au sein de l’opposition résulte d’un manque d’arguments convaincants pour s’attirer la sympathie des suffrages des populations. Qui entend tourner le dos à des opportunistes d’une situation qui, malheureusement, ne profite qu’à des manipulateurs de conscience.
En effet, et par dessus tout, leurs mots « d’amour » de patriotisme, de liberté, d’alternance politique, ce qui les intéressent c’est le pouvoir ou ce qu’ils pourraient en tirer au profit de leurs soutiens financiers extérieurs,vau cas où ils y accèdent, après avoir vendu le pays. De parfaites élucubrations enrobés de bons sentiments et de venin.
Évidement, il n’y a que l’opposition pour faire observer que le chef de l’État est mal en point. Pourtant le pays fonctionne grâce à ses institutions. Ali Bongo Ondimba est bien présent et occupe le devant de la scène politique nationale et internationale avec plusieurs déplacements à l’extérieur du pays.
Au plan national, le chef de l’État, a également présidé plusieurs cérémonies de rentrées solennelles de plusieurs années constitutionnelles de la place. Le président de la République a également présidé plusieurs sessions du Conseil des ministres et du Conseil de la magistrature.
N’est ce pas le même Ali Bongo Ondimba qui, aux cotées de la Première Dame, était dernièrement apporté la compassion de la nation à une famille gabonaise du PK8 de Libreville, suite au drame vécu par cette dernière a la suite d’un éboulement.
Ce dynamisme ne reflète- il pas les ambitions d’un chef de l’état qui a à coeur la matérialisation des préoccupations de son peuple ?