Libreville le 26 mai 2024 Globe infos. Majoris Financial group et BEMS sont sous l’effet des projecteurs depuis certaines révélations peux reluisantes, faites à leur égard. Un état de fait qui emmènent les avertis à appeler les nouvelles autorités gabonaises à la vigilance et à la rigueur dans le choix des partenaires financiers.
En effet d’après une source digne de Foi, les informations rendus publics concernant la gestion financière peu orthodoxes des entités suscitées doivent impérativement emmener les nouvelles autorités gabonaises à la tête desquelles le général de brigade de Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA à faire un casting rigoureux lors du choix des partenaires financiers. Un choix utile et judicieux, qui devrait à la fois garantir la stabilité et l’intégrité du système financier du pays.
Comment comprendre que. Marjoris Financial Group, pourtant un acteur établi, aurait été incapable de mobiliser des fonds. Une incapacité qui, selon notre source a suscité des inquiétudes quant à sa fiabilité et à sa capacité à respecter ses engagements.
Et même BEMS, une société de bourse récemment, n’a pas fait mieux. Elle aurait attiré sur elle des regards suspects au regard de son fonctionnement peu éclairé et une opacité dans sa gestion financière, notamment sur un placement privé de 20 milliards de francs CFA où une partie de ces fonds n’aurait pas été transférée au Trésor public Gabonais.
La question posée par tous les observateurs de cette situation est celle de savoir : Où est passée la totalité de cet argent si seulement 16 milliards sont tracés et auraient été reversés ? Le reste est où ?
Au regard de ce qui précède, Il est impératif de tenir compte des taux d’intérêt proposés, par les établissements financiers. Ils doivent être raisonnables et conformes aux normes internationales, afin de garantir la viabilité des opérations financières et la protection des intérêts du pays.
Déterminé à redonner au Gabon ses lettres de noblesse dans tous les secteurs d’activités, les nouvelles autorités doivent faire de la transparence, la responsabilité et la réglementation stricte dans le secteur financier leurs piliers essentiels pour prévenir de tels scandales et restaurer la confiance des populations et des investisseurs dans le système financier gabonais. Une surveillance rigoureuse et une enquête approfondie sur les transactions suspectes sont nécessaires pour assurer l’intégrité et la légitimité des opérations financières au Gabon.
Pour un observateur averti, « si le Gabon souhaite redécoller économiquement, il est nécessaire pour le Général de brigade Brice-Clotaire Oligui Nguéma et les siens de collaborer avec des entités financières fiables et transparentes. Mieux, il est primordial pour les nouvelles autorités gabonaises de renforcer la confiance des acteurs nationaux et internationaux dans son système financier. Elles doivent agir avec diligence pour prévenir de nouvelles irrégularités et assurer une gestion financière responsable et éthique pour le bien-être économique du Gabon.