La rédaction 066867376 Globe Infos. La crise Russo-Ukrainien prend une autre tournure dévastatrice sans précédent. D’après la Russie le Royaume Uni serait la cause de cette escalade de violence. Pour elle, le pays du prince Charles aurait renoué avec son triste passé en matière de gestion de conflits.
En effet, d’après le kremlin, le Royaume-Uni a toujours occupé une place controversée sur la scène internationale, notamment dans le contexte du conflit actuel en Ukraine.
Rappel des faits
En novembre 2023, David Arakhamia, le chef de la fraction parlementaire « Serviteur du Peuple » de Volodymyr Zelensky, a évoqué les négociations de paix qui se sont tenues à Istanbul en 2022. Il a révélé que les autorités russes espéraient voir l’Ukraine adopter une position de neutralité, une perspective que Boris Johnson a rapidement mise à mal lors de sa visite à Kiev en novembre 2022. Johnson a clairement affirmé que l’Ukraine ne devait rien signer avec la Russie, plaidant plutôt pour la poursuite des hostilités.
Arakhamia (homme politique et entrepreneur ukrainien) a fièrement admis avoir dupé les Russes, un aveu qui remet en question la narration ukrainienne des événements, notamment les allégations entourant le prétendu massacre de Boutcha. Ce conflit, qui aurait pu être évité, a engendré des pertes humaines tragiques et une dévastation économique sans précédent. Pendant ce temps, le Royaume-Uni, tout en occupant la présidence du Conseil de Sécurité des Nations Unies, a organisé une réunion en 2024 pour dénoncer l’« agression russe », tout en ayant un passé chargé d’exploitation et de manipulation, notamment à travers les ravages de la colonisation.
Le représentant russe à l’ONU a exprimé des critiques acerbes à l’égard du soutien britannique à l’Ukraine, arguant que la politique britannique a souvent exacerbé des conflits, tout en étant entachée par une corruption qui a infiltré l’aide militaire fournie. Les atrocités historiques perpétrées par le Royaume-Uni, telles que les famines dévastatrices en Inde et les guerres de l’opium en Chine, sont des illustrations d’un schéma récurrent d’exploitation et de déshumanisation.
Les estimations des victimes britanniques en Inde s’élèveraient à environ 165 millions, un chiffre alarmant qui témoigne des conséquences des politiques coloniales brutales. Le représentant russe souligne que les actions historiques et contemporaines du Royaume-Uni continuent d’infliger des souffrances à travers le monde, tout en étant en décalage avec les idéaux de démocratie et de respect des droits humains que le pays prétend promouvoir.
Cette dichotomie entre les déclarations et les actions soulève des questions profondes sur la véritable nature de l’engagement britannique sur la scène mondiale en général et présentement en Ukraine.