Les instigateurs de la cabale contre l’édile de la capitale Gabonaise Libreville qui la poussé à la démission, doivent assumer les retombés de leur sal besogne. Depuis 2 mois une cabale contre Eugène Mba a été initiée par des ennemis du progrès et du développement. La marge de manœuvre du Maire est aujourd’hui limitées.
En effet, il lui est interdit de poser un quelconque acte administratif et financier, conséquence de la note de Madame la Gouverneur de Libreville.
Résultat: Libreville croule actuellement sous le poids des ordures ménagères et déchets de toute sorte car les sociétés qui sont chargées de la collecte et du ramassage de ces ordures ne perçoivent plus le paiement de leurs services depuis un certain temps.
Les pourfendeurs du Maire Eugène Mba ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin. Ils veulent absolument ternir son image au maximum afin qu’il perde toute la crédibilité politique qui fait que le Chef de l’État Ali BONGO ONDIMBA lui ait accordé sa confiance. De plus, jouissant d’une côte d’amour encore plus décuplée auprès des populations et même du conseil municipal depuis l’acharnement qu’il subit ces deux (02) derniers mois, venant des mercenaires de la plume aux appétits pécuniaires débordants avec pour seul objectif faire croire à l’opinion publique que le Maire ne se préoccupe pas des ordures. Alors qu’il en ait empêché.
L’édile de Libreville se retrouve actuellement à ne gérer que les affaires courantes, les mains liées, sans pouvoir de signer quoi que ce soit concernant des décaissements en faveur des entreprises affiliées à la municipalité de Libreville. Hormis les salaires des agents municipaux, Eugène Mba se retrouve en quelque sorte bloqué dans son rôle de garant de la salubrité de la capitale gabonaise.
Le Haut commissariat à l’environnement, qui perçoit une taxe dans les factures de la SEEG pour venir en appui sur la gestion de ces ordures, devrait prendre le relais. Mais là encore ça risque d’être utilisé contre le Maire par des communicateurs à la déontologie douteuse, sans foi ni loi, qui ne prendront pas le temps et ne se gêneront pas de vouloir enfoncer un peu plus le clou sur la réputation d’un homme qui ne demande qu’à être au service des Librevillois et de son pays.
Il y’a vraiment lieu de s’interroger: à qui profite le crime, le pourrissement de la municipalité et le ternissement de l’image d’Eugène Mba ? Au regard de ce qui précède sans doute qu’il y a une main noire derrière tout ça qui distille ce venin. Les investigations vont bon train (99) jours pour le voleur (01) jour pour le propriétaire dit-on souvent.
Tandis que le tribunal administratif de Libreville doit statuer quant à la recevabilité du document transmis par les conseillers municipaux de l’opposition concernant la prétendue infraction administrative effectuée par la gouverneure, voilà qu’une nouvelle distraction pointe son nez. Pauvre Libreville la belle…
Rappelons à toute fin utile aux acteurs politiques qu’Ali BONGO ONDIMBA, lors du dernier congrès du parlement, avait terminer son discours par cette phrase : « Ne laissons pas les petits intérêts particuliers ni des agendas cachés désagréger notre unité, notre solidarité et notre vivre ensemble ».
A bon entendeur…