Depuis sa nomination comme Directeur de Cabinet du Chef de l’État Ali Bongo Bongo Ondimba, M. Brice Laccruche Alihanga (BLA), est curieusement la cible privilégiée de certains activistes véreux qui pilulent sur les réseaux en quête de likes. Pencil Rémi a publié un droit de réponse aux détracteurs de BLA, dont nous vous livrons la teneur.
Libres propos de Pencil Rémi:
《D’après lui, Une bande d’énergumènes, sans foi ni loi, planquée derrière les publications d’une certaine « CÉLINE ALEXANDRE », sur le site du journal d’information en ligne français « MEDIAPART », a pris pour cible, Brice Laccruche Alihanga (BLA), le directeur de cabinet du Président de la République Ali Bongo Ondimba. Décidés d’abîmer à tout prix l’image du principal collaborateur du chef de l’État gabonais, « CÉLINE ALEXANDRE » et sa clique de minables sbires, passent leur temps à prêter à M. BLA, des ambitions qui n’ont jamais effleuré l’esprit de ce dernier. C’est à se demander si bien faire son travail est devenu un délit au Gabon, qui vous condamne à brûler sur le bûcher.
Pourquoi tant de haine ?
C’est pour être loyal et fidèle au Chef de l’Etat que le Directeur de Cabinet subit les foudres des activistes.
Les spadassins de la plume et autres nervis au service de ceux qui veulent le fauteuil d’Ali Bongo Ondimba – qui soit dit en passant n’est pas vacant -, ont trouvé leur bouc émissaire en la personne de M. BRICE Lacruche Alihanga, dont le seul tort est de servir le Président de la République avec abnégation et loyauté. Tous les jours, sans répit, BLA, ses parents, ses proches sont jetés dans la fosse aux lions, insultés, diffamés, calomniés, discriminés.
Ces attaques mesquines incessantes polluent le climat national et affaiblissent le camp de la majorité, face à une opposition politique, qui guette la moindre faille du pouvoir dirigeant. Car ces attaques, faut-il le rappeler, sont manigancées par une bande de félons tapis dans l’ombre, qui ont décidé de devenir khalife à la place du khalife, suite aux ennuis de santé du chef de l’État pourtant résolues. Ils ont beau se cacher derrière l’anonymat de « Céline Alexandre » et des fake news, ils sont démasqués, contrairement à ceux qu’ils peuvent croire, et un jour qui n’est pas lointain, ils devront répondre de leur forfaiture.
Ces écrits d’un autre temps, ces attaques troublantes et pitoyables n’auront jamais raison de la détermination de Brice Laccruche Alihanga de servir le chef de l’État, M. Ali Bongo Ondimba, dans le droit fil de sa politique sociale, consistant à sortir nos compatriotes de la précarité. Le tout dans une proximité saluée par tous. Les actes concrets posés sur le terrain parlent d’eux-mêmes. Quand on refait des routes, agi pour améliorer le cadre de vie des populations sur instruction du Président de la République, en quoi cela est-il un mal en soi ?
A tous ceux dont les ambitions démesurées ont été étouffées dans l’œuf par le retour définitif, fin mars à Libreville, du chef de l’État, qui a repris depuis ses activités, nous voulons leur dire d’arrêter ces attaques injustes, irresponsables et immondes contre la personne de son directeur de cabinet. Lequel, malgré cette campagne violente et abjecte, reste droit dans ses bottes et absolument alaise avec sa conscience.