## Rencontre au Palais Rénovation

Le 21 novembre 2024, S.E. Brice Clotaire Oligui Nguema, le Chef de l’État, a reçu en audience Mme Paulette Missambo, la Présidente du Sénat, au Palais Rénovation. Cette rencontre a revêtu une grande importance, permettant aux deux personnalités de discuter de sujets cruciaux pour le pays.

## Échanges sur le Référendum Constitutionnel

Au cœur de cette audience, les résultats du récent référendum constitutionnel ont été abordés. Les deux leaders ont examiné les implications de ce référendum pour la gouvernance du pays et la volonté du peuple. Les résultats ont suscité des débats au sein de la société, et leur impact sur la stabilité politique et sociale a été une priorité dans leurs discussions.

## Avancées Sociales et Nouvelle Loi Fondamentale

Un autre point essentiel de cette rencontre a été les avancées sociales apportées par la nouvelle Loi Fondamentale. Mme Missambo a souligné les mesures qui favorisent le bien-être des citoyens, notamment les droits des femmes, l’éducation et la santé. Le Chef de l’État a exprimé son engagement à soutenir ces initiatives pour garantir un développement durable et inclusif.

# Évolution des Travaux de Réhabilitation du Sénat

Enfin, les deux personnalités ont échangé sur l’état d’avancement des travaux de réhabilitation du Sénat. Cette initiative vise à moderniser les infrastructures et à renforcer le rôle du Sénat dans le processus législatif. La Présidente du Sénat a partagé les défis rencontrés et les progrès réalisés, tout en insistant sur l’importance de disposer d’une institution fonctionnelle et efficace pour le bon fonctionnement de la démocratie.

En définitive,

Cette audience entre S.E. Brice Clotaire Oligui Nguema et Mme Paulette Missambo témoigne de la volonté des dirigeants de travailler ensemble pour le bien du pays. Les discussions sur le référendum constitutionnel, les avancées sociales et la réhabilitation du Sénat soulignent l’engagement du gouvernement à répondre aux attentes de la population et à renforcer les institutions démocratiques.

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## Nomination du Général Maïga: un réajustement nécessaire selon le pouvoir de Bamako.

Le général Abdoulaye Maïga a été désigné comme le nouveau Premier ministre de transition du Mali, suite à un décret présidentiel diffusé le 21 novembre 2024 sur l’ORTM, la télévision d’État. Cette annonce a suivi la révocation de Choguel Maïga et de son gouvernement, provoquant une forte réaction de sa part sur les réseaux sociaux. La nomination du général Maïga était attendue après une période d’incertitude.

## Expérience Préférentielle d’Abdoulaye Maïga

Avant sa nomination, le général Abdoulaye Maïga a déjà occupé le poste de ministre de l’Administration territoriale et a été porte-parole du gouvernement. Bien qu’il ne soit pas un militaire impliqué dans le coup d’État d’août 2020, il a réussi à gagner la confiance des forces armées et à s’établir comme un pilier du régime de transition. Élevé au rang de général en octobre, il est reconnu pour son style martial et ses discours percutants, notamment lors de ses interventions aux Nations Unies.

## Défis à Venir pour le Nouveau Premier Ministre

Le général Maïga a désormais la responsabilité de former un nouveau gouvernement de transition. Des interrogations subsistent concernant les personnalités qui seront choisies, les missions qui leur seront assignées et la durée de cette transition. Étant un interlocuteur clé pour les partis politiques, il supervisait également les processus électoraux en tant que ministre de l’Administration territoriale. Cette nouvelle phase suscite des inquiétudes quant au retour à l’ordre constitutionnel, surtout avec les élections présidentielles à l’horizon.

## Réaction de Choguel Maïga

Choguel Maïga, après son limogeage, a utilisé les réseaux sociaux pour exprimer sa volonté de rester actif sur la scène politique. Il a fermement rejeté les accusations de trahison, affirmant avoir toujours agi dans l’intérêt du pays. Il évoque une prétendue « mission de déstabilisation » orchestrée par d’anciens alliés de son mouvement, le M5-RFP, ainsi que certains membres du gouvernement.

## Accusations et Ambitions Politiques

Choguel Maïga accuse le général Abdoulaye Maïga d’avoir formé clandestinement de nouveaux partis politiques dans le but de nuire à sa position, composés selon lui d’« agents doubles » et de « mercenaires » désireux d’obtenir sa démission. Ses ambitions politiques futures semblent floues, mais certains observateurs estiment qu’il pourrait se repositionner en vue d’une éventuelle candidature à la prochaine élection présidentielle.

## Conséquences Politiques et Judiciaires

La réaction de Choguel Maïga soulève des questions quant à la réponse des militaires au pouvoir. De nombreux opposants politiques sont actuellement incarcérés pour des infractions moins graves. Les accusations de déstabilisation et de trahison pèsent sur Choguel Maïga. La possibilité d’une poursuite judiciaire, d’une incarcération ou d’une résidence surveillée dépendra des calculs politiques des militaires au pouvoir, qui devront peser les conséquences d’une telle mesure sur leur image.

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L’ancienne ministre et députée gabonaise, Estelle Ondo, a été distinguée d’un prestigieux Doctorat Honoris Causa lors d’une cérémonie en Côte d’Ivoire. Cette reconnaissance académique vient saluer son parcours exceptionnel et son engagement indéfectible en faveur de l’égalité des genres, du développement durable et de la bonne gouvernance au Gabon.une cérémonie riche en couleurs 

En tant que figure de proue de la politique gabonaise, Estelle Ondo a toujours œuvré pour l’émancipation des femmes et des jeunes. Son action au sein du gouvernement, notamment en tant que Ministre de l’Économie forestière, de la pêche et de l’Environnement, a marqué les esprits par sa détermination à préserver les ressources naturelles et à promouvoir un développement économique inclusif.Une reconnaissance mérité. Estelle Ondo une valeur sûre 

Ce Doctorat Honoris Causa, décerné par l’IARPA et le CVPT, deux institutions d’enseignement supérieur de renom, est un témoignage de l’expertise et du savoir-faire d’Estelle Ondo. Il vient également récompenser son rôle moteur dans la société civile gabonaise, où elle s’est engagée sans relâche pour défendre les droits de l’homme et promouvoir la démocratie.

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Ce plébiscite historique marque un tournant décisif pour le Gabon, qui, par ces résultats ouvre la voie à la nouvelle république.

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La rédaction 066867376 Globe Infos. D’après une source digne de Foi Alain Claude bylie By NZé et le NON aurait été à la traîne à Ekowong sa base politique.

Le référendum de 2024 constitue un moment charnière dans le paysage politique du pays, et les résultats d’Ekowong, le village d’Alain Claude Bilie By Nze, en témoignent de manière éclatante. Alors que Bilie By Nze était un opposant farouche au « Oui », il a été largement malmené dans sa propre communauté, où le « Oui » a été massivement plébiscité.

Ce résultat témoigne d’un large soutien aux propositions soutenues par le gouvernement, et met en lumière une fracture entre les opinions des leaders politiques et celles des citoyens. À Ekowong, le rejet du « non » s’avère être un signe fort de l’adhésion des habitants aux changements proposés, ce qui pourrait avoir des répercussions importantes sur la dynamique politique à l’échelle nationale.

L’incapacité de Bilie By Nze à mobiliser le soutien dans son propre village soulève des questions sur sa stratégie et sa capacité à représenter les préoccupations de ses concitoyens. Ce revers souligne également un changement dans les attentes des électeurs, qui semblent privilégier des solutions en phase avec leurs réalités quotidiennes. Le « non » a été clairement malmené à Ekowong, illustrant ainsi un désaccord croissant entre les aspirations des électeurs et les positions des leaders politiques.

En définitive, le référendum de 2024 est un révélateur des tensions et des aspirations qui traversent la société, et le cas d’Ekowong en est une illustration frappante. La voix des électeurs a été clairement entendue, et il sera essentiel pour les dirigeants politiques de prendre en compte ces signaux pour l’avenir.

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La rédaction 066867376 Globe Infos. Le 15 novembre 2024, le gymnase de Mouila a été le cadre d’une mobilisation d’une ampleur inédite lors du meeting de clôture en faveur du « Oui » pour le Référendum 2024. Sous la direction du Coordonnateur provincial de campagne, Guy Bertrand Mapangou, et en présence de nombreuses figures politiques locales, cet événement a attiré des milliers de partisans prêts à soutenir ce projet crucial.

Une Affluence Impressionnante

En effet, c’est dans une ambiance électrique, que le gymnase, bien que vaste, n’a pas pu contenir la foule venue des quatre coins de Mouila. Contrairement à l’idée reçue que Mouila était un bastion exclusif du Parti Démocratique Gabonais (PDG), la ville a prouvé sa capacité à dépasser les clivages politiques pour se rassembler autour d’une cause commune.

La Présence de Leaders Influents

Des personnalités influentes de la région, telles que Marcelle Ibinga épouse Itsitsa, Serge Maurice Mabiala, Biendi Maganga Moussavou, Dieudonné Mouiri, Romain Koumba Mamfoumbi, et Joachim Boussamba Mapaga, ont marqué de leur présence ce rassemblement. Leur engagement, aux côtés de figures emblématiques comme l’ancien vice-président Didjob Divoungui Di Dingue, a contribué à unir toutes les communautés ethnolinguistiques autour de l’enjeu du référendum.

 Un Réponse aux Appels au Boycott

Cette forte affluence répond clairement aux appels au boycott qui, dans certaines sphères, visaient à fragiliser le camp du « Oui ». Grâce à une stratégie de terrain efficace et à un discours rassembleur, l’équipe de campagne dirigée par Guy Bertrand Mapangou a inversé la tendance, mobilisant bien au-delà des attentes initiales.

Un Message d’Engagement et d’Espoir

Dans son discours, Mapangou a salué l’engagement des populations locales : « Aujourd’hui, Mouila démontre qu’elle reste debout, unie et résolue à prendre en main son avenir. Nous avons brisé les chaînes du doute et du désintérêt, pour faire triompher l’espoir et le progrès. »

Une Célébration de la Cohésion Sociale

Ce meeting ne s’est pas limité à un simple événement politique, mais a également été une célébration de la cohésion sociale et de la diversité culturelle de la Ngounié. Les chants, les danses et les slogans ont exprimé un enthousiasme contagieux et un réel désir de changement.

Un Signal Fort pour le Référendum 2024

Le message est clair : Mouila est résolue à soutenir le « Oui ». Avec cette mobilisation massive, la ville envoie un signal fort au niveau national, soulignant l’importance du Référendum 2024 pour la région et le pays tout entier.

Conclusion : Un Moment Mémorable

En conclusion, ce meeting de clôture restera gravé dans les mémoires comme un moment de rassemblement exceptionnel, où les citoyens de Mouila, guidés par leurs leaders, ont réaffirmé leur volonté de s’inscrire dans une dynamique de transformation positive. Le camp du « Oui » ressort galvanisé de cette étape décisive, prêt à aborder le référendum avec confiance.

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La rédaction 066867376 Globe Infos. Ce vendredi 15 novembre 2024, lors d’une déclaration faite au domicile du Premier Vice-Président du parti, situé au quartier Bel-Air dans le premier arrondissement de Libreville, l’Union et Solidarité, dirigée par Me Jean de DIEU Moukagni Iwangou, a lancé un appel à ses militants pour voter OUI au référendum du 16 novembre 2024.

Dans ses mots, Alain Armand NKOA a exprimé ce qui suit :

« Chers compatriotes,

Après une analyse approfondie de la nouvelle constitution, nous, à Union et Solidarité, vous encourageons à voter OUI lors du référendum du 16 novembre 2024.

Pourquoi voter OUI ?

– Un processus inclusif : Cette constitution est le résultat d’un dialogue national qui a pris en compte les aspirations de tous les Gabonais.

– Un bilan positif du CTRI : Le Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions a fait des avancées significatives dans des domaines tels que l’éducation, les infrastructures et le renouveau du patriotisme.

– Des garanties pour l’avenir : La nouvelle constitution limite les mandats présidentiels, renforce la transparence et assure une meilleure représentativité du peuple.

Les raisons de voter OUI avec Union et Solidarité :

– Une vision pour le Gabon: Notre parti a toujours œuvré pour un Gabon plus juste et plus prospère. Voter OUI, c’est soutenir cette vision.

– Un engagement pour le changement: La nouvelle constitution représente une rupture avec le passé et ouvre la voie à un avenir meilleur.

– Un appel à la responsabilité: Chaque vote compte. En votant OUI, vous contribuez activement à l’avenir de notre pays.

En conclusion, Union et Solidarité vous invite à saisir cette opportunité historique de construire un nouveau Gabon. Votez OUI pour un avenir meilleur !

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Libreville, le 11 novembre 2024 – Le Gabon traverse une phase charnière de son histoire politique depuis le 30 août 2023, avec un changement de régime orchestré par le Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI). Ce dernier a établi une feuille de route visant à restaurer la stabilité et la confiance, tout en mettant en avant la nécessité de réformes institutionnelles et législatives, ainsi que la lutte contre la corruption.

Un des points marquants de cette feuille de route est l’organisation d’un référendum constituant, prévu pour le 16 novembre 2024. Ce scrutin a pour objectif d’établir des fondations juridiques solides, axées sur la séparation des pouvoirs, la bonne gouvernance et la protection des droits des citoyens.

Pour garantir la transparence et la crédibilité de ce processus démocratique, le Réseau des Observateurs Citoyens du Gabon (ROC) a été mis en place. Soutenu par le PNUD et le Gouvernement Japonais, ce réseau regroupe 17 organisations de la société civile, permettant ainsi une mobilisation d’expertises variées en matière d’analyse juridique et politique, d’observation citoyenne, de médiation et de plaidoyer.

Les observateurs du ROC, formés aux standards BRIDGE, utiliseront la logistique « KOBO TOOLBOX » pour assurer un suivi en temps réel du scrutin. Un centre de pilotage, dénommé « Situation Room », sera installé au Radisson Blu, composé de trois chambres dédiées à la technique, à l’analyse et à la politique. Ce dispositif a pour mission de recueillir, analyser et communiquer les informations essentielles sur le déroulement du référendum.

Les enjeux de cette consultation populaire sont cruciaux pour la stabilité politique et la légitimité démocratique au Gabon. Le ROC prévoit de communiquer régulièrement sur le déroulement du scrutin le jour du vote, avec une déclaration préliminaire prévue pour le lendemain, le 17 novembre 2024.

À l’issue de cette première communication, le ROC a exprimé sa gratitude envers les autorités du pays pour leur écoute et les accréditations fournies, ainsi que vers le PNUD et le Gouvernement Japonais pour leur soutien.

Dans un esprit de collaboration, le ROC a également émis plusieurs recommandations avant le scrutin : faire preuve d’honorabilité et d’impartialité pour les commissions électorales, garantir la neutralité de la société civile, et appeler les médias à un traitement objectif de l’information. Les citoyens sont également exhortés à exercer leur devoir civique dans un climat de paix, tandis que la communauté internationale est invitée à soutenir sincèrement le Gabon durant cette période de transition.

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Le 9 novembre, plusieurs véhicules militaires du Front Polisario ont ciblé un événement festif organisé à Mahbès à l’occasion du 49ᵉ anniversaire de la Marche verte. Les Forces armées royales ont riposté par des tirs de drones. Aucune perte déclarée côté marocain, mais au moins, trois morts et trois blessés dans les rangs sahraouis.

Ce fut « une épopée héroïque qui restera gravée dans l’histoire de la résistance sahraouie ». Du moins à en croire les canaux médiatiques du Front Polisario, qui évoquent aussi de « lourdes pertes en vies humaines et matérielles dans les rangs de l’armée d’occupation marocaine ». Rien de tel pourtant, selon les sources consultées par Jeune Afrique

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La rédaction 066867376 Globe Infos. L’UNESCO a récemment organisé un séminaire de formation sur le thème **« Le Leadership des Femmes en Milieu Rural »** à l’intention des femmes rurales du département de la Banga Binié, situé dans la province du Moyen Ogooué. L’objectif principal de cet événement était d’autonomiser les femmes rurales, en présence du préfet de la localité.

Ce séminaire a été soutenu par l’association des femmes, qui a été accompagnée par l’UNESCO dans cette initiative. Plus de 200 femmes ont participé à cette formation enrichissante, qui a couvert divers modules, notamment la gestion des déchets, la gestion de l’eau, et la culture de la banane plantain, en plus du leadership féminin.

Les formateurs ont conçu des modules adaptés aux besoins spécifiques des participantes, leur fournissant ainsi les compétences nécessaires pour améliorer leur quotidien. À l’issue de ces deux jours de formation, les femmes rurales de la Banga Binié ont décidé de s’organiser en groupements afin de mieux faire face aux défis liés à leurs conditions de vie.

Ce séminaire a été une occasion importante pour les autorités et les organisateurs de souligner l’importance de l’autonomisation des femmes rurales et de l’impact positif du leadership féminin sur le développement communautaire.

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