Libreville le 18 juillet 2024. Soucieux de répondre favorablement face à la recrudescence de l’insécurité aéroportuaire et la fraude douanière, les gérants de l’aéroport international de Libreville se sont récemment dotés et installés deux scanners de dernière génération.

En effet, cette innovation technologique observée à l’aéroport de Libreville vient résoudre l’épineux problème de l’insécurité et la fraude douanière observée depuis plusieurs années. Longtemps privé des instruments fiables de contrôle des bagages, l’Aéroport International Léon Mba de Libreville vient de faire un bon vers le modernisme. C’est le ministre de l’Economie et des Participations Mays Mouissi qui a procédé, en présence du Directeur général des Douanes et des Droits Indirects, à leur inauguration officielle.

Tout doucement, l’aéroport International Léon Mba, s’arrime aux standards internationaux en matière de sécurité et de lutte contre la fraude douanière. Ce, à travers cette acquisition de deux scanners à bagages aux performances requises. Des équipements acquis et installés par la Direction générale des Douanes et des Droits Indirects. Selon Hugues Modeste Odjangou, Directeur général, « ces équipements nouvellement acquis, marquent une avancée significative pour notre administration, à travers la Brigade touristique de surveillance. À travers cet outil de contrôle non inclusif, l’administration des douanes dispose désormais de deux scanners modernes et performants » a-t-il déclaré

L’acquisition de cette logistique contribuera, selon un Colonel des douanes à « assurer la sécurité à cette frontière que constitue l’aéroport. Ces scanners permettront de déceler tout objet prohibé et des produits interdits d’accès sur notre territoire ou de sortie. Sur tout un autre plan, ils permettront de s’assurer que les déclarations faites par les usagers, sont conformes aux contenus des bagages ».

L’Aéroport de Libreville (ADL), principale porte d’entrée et de sortie du Gabon était considéré avant l’installation de ces scanners comme une véritable passoire des drogues de tout genre et autres produits prohibés. La mise en service de ces équipements hisse le plus grand aéroport du Gabon au rang des aéroports sécurisés et modernisés. Une mission qui a d’ailleurs été confiée au ministre de l’Economie et des Participations par le Président de la Transition lors de sa prise des fonctions. C’est dans cet élan que Mays Mouissi a promis la mise en place dans un proche avenir, des scanners portuaires, des scanners mobiles et des scanners corporels au grand bonheur des Douaniers.

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Libreville le 10 juin 2024 Globe Infos. Résolument engagé à soutenir l’état dans la lutte contre le chômage, Olam Gabon en partenariat avec PNPE recrute 250 stagiaires en contrats d’adaptation professionnelle. Une initiative saluée par les plus hautes autorités gabonaises qui font de la formation professionnelle un préalable.

Ci-dessous l’intégralité du y afférent

Olam-Palm Gabon, entreprise leader dans le secteur de l’agro-industrie, renouvelle son engagement en faveur du développement durable et de l’auto-emploi au Gabon avec le lancement d’une campagne de recrutement de 250 stagiaires en contrats d’adaptation professionnelle en partenariat avec le PNPE.

En 2023, Olam-Palm a signé une convention de 320 millions avec l’état Gabon pour accompagner le PNPE dans son programme de formation visant la création d’emplois dans le pays. Cette nouvelle campagne s’inscrit dans la continuité de cet engagement, démontrant ainsi la volonté de l’entreprise de contribuer activement au développement socio-économique du Gabon.

Dans le cadre de cette campagne, Olam-Palm Gabon offre des opportunités de formation professionnelle à des candidats gabonais âgés de 18 ans et plus, sans diplômes, et désireux d’apprendre le travail en plantation. Les stagiaires auront l’occasion de développer leurs compétences et d’acquérir de nouvelles qualifications tout en contribuant à des projets concrets au sein de l’entreprise.

Les candidats seront recrutés par le PNPE sur les sites Olam de LEBAMBA, NDENDE et MOUILA. Pendant les deux premières semaines, ils bénéficieront d’un logement et d’une restauration pris en charge par l’entreprise et recevront une prime durant la période de stage.

Les sites concernés par cette campagne sont le Mouilla Cluster, avec 100 postes disponibles (Lot 1 : 76 ; Lot 2 : 24), et le Ndendé Cluster, avec 150 postes disponibles (Lot 3). Les missions des candidats incluront principalement l’élagage, le ratissage et le désherbage chimique.

Olam-Palm Gabon réaffirme ainsi son engagement en tant que partenaire du développement durable, en offrant des opportunités d’emploi et de formation aux jeunes gabonais, et en contribuant activement à la croissance économique et sociale du pays.

Pour plus d’informations et pour postuler, veuillez contacter PNPE au 065196701

*Contact Olam : Cyrille NSI ONDZIGU, Direction Communication Olam Palm &Olam Rubber Gabon
Tel :077.02.02.77

Olam-Palm Gabon, partenaire du développement durable

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signature d’une convention de financement d’un montant de 19 milliards de FCFA soit (29 000.000) millions d’euros. En présence des hautes autorités des des pays, dont le numéro un Gabonais le Général de brigade Brice-Clotaire Oligui Nguéma Président de la transition Président de la République Chef de l’État qui a pesé de tout son poids pour l’aboutissement de cet accord.

En effet, Ce partenariat financier qui vise globalement à renforcer les capacités opérationnelles de AGL Gabon, SAGA et Owendo Container Terminal afin d’optimiser les performances du port d’Owendo et soutenir les opérations pétrolières et minières, vient répondre favorablement aux besoins économiques de l’heure.

« Cet accord avec BGFIBank Gabon illustre notre engagement envers le développement durable et la prospérité économique du Gabon. En unissant nos forces avec des partenaires locaux de premier plan, nous renforçons notre capacité à soutenir efficacement les besoins logistiques de l’industrie gabonaise tout en contribuant à l’économie nationale. » a déclaré Patrick GERENTHON, Directeur Général de AGL Gabon.

« Pour sa part, BGFIBank Gabon se réjouit d’associer sa marque et son expertise à la réalisation de ce projet d’envergure. Ce financement illustre ainsi la volonté de notre institution à accompagner de manière pérenne et appuyée la mise en œuvre de projets structurants porteurs de richesse sur le plan économique et social » a déclaré Monsieur Dimitri Kévin NDJEBI.

AGL privilégie les partenariats avec les entreprises locales pour soutenir le développement économique du Gabon. Une démarche en totale adéquation avec la vision des Pouvoirs Publics en tête desquels le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’Etat qui appelle à des partenariats gagnant-gagnant entre entreprises internationales et locales pour le développement durable et une croissance soutenue du pays. AGL reste déterminé à jouer un rôle actif dans l’économie gabonaise et à promouvoir une croissance inclusive et durable pour le bien-être de tous.

BGFIBank Gabon, en sa qualité de première banque de la sous-région, entend poursuivre l’accompagnement du développement infrastructurel du Gabon afin d’en faire un véritable hub régional et multi modal.

A propos d’AGL Gabon (Africa Global Logistics)

AGL assure grâce à ses 1 100 Collaborateurs au Gabon, les prestations de manutention portuaire, de consignation maritime, de logistique transit et de commission en douane. Nous proposons à nos clients un service de proximité, une parfaite connaissance des marchés et une maîtrise des opérations de bout en bout de la chaîne logistique. AGL est engagé aux côtés des autorités gouvernementales et portuaires, pour lutter contre la vie chère et contribuer à la croissance économique et sociale du Gabon, tout en menant sur le plan social et dans le cadre de notre politique interne de mécénat, une politique active de soutien aux populations gabonaises orientée vers la jeunesse.

À propos de BGFIBank Gabon

Avec plus de 600 salariés engagés autour du plan stratégique « Reconquête 2025 », la banque se positionne comme l’interlocuteur privilégié d’une clientèle diversifiée composée de Grandes Entreprises, de PME/PMI à fort potentiel et de Particuliers Hauts de Gamme. Leader sur le marché gabonais avec en moyenne 40% de parts de marché sur les emplois et sur les ressources, BGFIBank Gabon affirme ainsi sa capacité à accompagner ses clients dans leurs projets. Filiale du Groupe BGFIBank présent dans 12 pays, BGFIBank Gabon est certifiée ISO 9001 version 2015, ISO 14001 version 2015 et 45001 version 2018, ALM 30000 et PCI-DSS.

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En effet d’après une source digne de Foi, les informations rendus publics concernant la gestion financière peu orthodoxes des entités suscitées doivent impérativement emmener les nouvelles autorités gabonaises à la tête desquelles le général de brigade de Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA à faire un casting rigoureux lors du choix des partenaires financiers. Un choix utile et judicieux, qui devrait à la fois garantir la stabilité et l’intégrité du système financier du pays.

Comment comprendre que. Marjoris Financial Group, pourtant un acteur établi, aurait été incapable de mobiliser des fonds. Une incapacité qui, selon notre source a suscité des inquiétudes quant à sa fiabilité et à sa capacité à respecter ses engagements.

Et même BEMS, une société de bourse récemment, n’a pas fait mieux. Elle aurait attiré sur elle des regards suspects au regard de son fonctionnement peu éclairé et une opacité dans sa gestion financière, notamment sur un placement privé de 20 milliards de francs CFA où une partie de ces fonds n’aurait pas été transférée au Trésor public Gabonais.

La question posée par tous les observateurs de cette situation est celle de savoir : Où est passée la totalité de cet argent si seulement 16 milliards sont tracés et auraient été reversés ? Le reste est où ?

Au regard de ce qui précède, Il est impératif de tenir compte des taux d’intérêt proposés, par les établissements financiers. Ils doivent être raisonnables et conformes aux normes internationales, afin de garantir la viabilité des opérations financières et la protection des intérêts du pays.

Déterminé à redonner au Gabon ses lettres de noblesse dans tous les secteurs d’activités, les nouvelles autorités doivent faire de la transparence, la responsabilité et la réglementation stricte dans le secteur financier leurs piliers essentiels pour prévenir de tels scandales et restaurer la confiance des populations et des investisseurs dans le système financier gabonais. Une surveillance rigoureuse et une enquête approfondie sur les transactions suspectes sont nécessaires pour assurer l’intégrité et la légitimité des opérations financières au Gabon.

Pour un observateur averti, « si le Gabon souhaite redécoller économiquement, il est nécessaire pour le Général de brigade Brice-Clotaire Oligui Nguéma et les siens de collaborer avec des entités financières fiables et transparentes. Mieux, il est primordial pour les nouvelles autorités gabonaises de renforcer la confiance des acteurs nationaux et internationaux dans son système financier. Elles doivent agir avec diligence pour prévenir de nouvelles irrégularités et assurer une gestion financière responsable et éthique pour le bien-être économique du Gabon.

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Libreville le 18 Mai 2024 Globe Infos. Il nous revient avec instance que les entreprises qui recyclent les déchets de fer en produits finis à nkok vont manquer de matières premières. Pour cause, la délivrance hanarchique des autorisations spéciales d’exportation des rebuts de fer, accablant ainsi la consommation locale.

Lors d’une réunion la semaine écoulée entre l’administrateur Général de nkok et les industriels, l’AG a été mis au courant du nombre croissant des autorisations spéciales d’exportation des rebuts de fer alors que la loi demande de privilégier l’approvisionnement des usines.

Les industriels ont sollicité l’appui de l’AG pour comprendre comment est t il possible que des collecteurs à qui les industriels qui ne bénéficient pas de leur accord de non objection réussissent à avoir des autorisations pour exporter des quantités très importantes de nature à mettre en péril le tissus industriel et les emplois.

Ils ont quand à eux saisi le Président.de la Transition et le Premier Ministre du Gouvernement pour mieux comprendre les causes qui poussent l’administration du commerce à délivrer lesdites autorisations sans le respect de la procédure en la matière.

Il s’agit d’obtenir un accord de non objection des industriels avant d’autoriser de telles exportations.

Privilégiant les exportations par une filière d’exploitateurs des indiens avec des prêtes noms gabonais ,le Gouvernement a t il désormais fait le choix de la destruction des emplois?

Les industriels savent que le Gouvernement est bien conscient qu’un.pays se développe avec la construction des unités industrielles pour la transformation locale des matières premières,seul gage de création d’emplois et de valeur ajoutée.

Aussi,les industriels se disent prêt à encadrer les jeunes gabonais qui veulent véritablement exercer cette activité de collecteurs pour les autonomiser et les détourner des réseaux étrangers d’exporateurs de rebuts dont ils ne tirent aucun bénéfice alors qu’ils sont mis au devant de la scène juste pour justifier un semblant de préférence nationale.

Les industriels ont aussi décidé par ailleurs de saisir le Ministre de l’économie tutelle technique la ZIS de Nkok et le ministre de l’industrie pour qu’ils interpellent leur collègue du Commerce sur cette pratique illégale qui se faire dans son dos et dans les ratifications et les pratiques ne cadrent pas avec les principes de bonne gouvernance édictées par les responsables de la transition.

Ils souhaitent par ailleurs que ce lot d’autorisations signées dans des conditions non conforme à la loi soient retirées au risque de tuer le développement industriel dans la ZIS de Nkok.

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Libreville, le 15 mai 2024 Globe infos. La Compagnie Nationale de Navigation Intérieure et Internationale ( C2N2I) sort petit à petit de son agonie ambiant, œuvre de la mise en pratique des instructions fermes du Général de brigade Brice-Clotaire Oligui Nguéma Président de la transition Président de la République Chef de l’État par le Ministre des Transports Dieudonné Loïc Ndinga Moudouma.

En effet, c’était au cours de l’émission les Grands Dossiers diffusée sur Gabon Première du dimanche 25 février 2024 dernier, que le Directeur Général de la compagnie C2N2I avait annoncé l’acquisition de nouveaux équipements sous l’impulsion du Ministre des Transports Dieudonné Loïc Ndinga Moudouma qui a conduit de main de maître le processus engagé et il a remis le personnel en confiance par le paiement des arriérés de salaires des agents.

Les observateurs du processus de restauration annoncé de la Compagnie nationale de navigation intérieure et internationale ( C2N2I) sont plus que convaincus que celui-ci est plus que jamais en bonne voie au regard des initiatives prises par la tutelle et la Marine Marchande. Tout ceci en suivant les très hautes instructions du Chef de l’État, Président de la Transition, Président de la République, Brice Clotaire Oligui Nguema. Un pari en phase d’être gagné par le membre du gouvernement qui sort la C2N2I de ses cendres.

Afin de ne rien laisser au hasard, Dieudonné Loïc Ndinga Moudouma a conduit une imprimante délégation du côté de Port-Gentil dans l’Ogooué Maritime, le samedi 11 Mai dernier, afin de se rassurer qu’il sont sur la même longueur d’onde avec les autorités locales de la ville du sable.

Était donc présent à cette rencontre, monsieur le gouverneur de la province Paul Ngome Ayong et du Délégué Spécial de Port-gentil Pierre RIZOGO ROUSSOLOT, une délégation composée d’opérateurs économiques prêts à accompagner l’État gabonais sans oublier bien-sûr, Dieudonné Loïc Ndinga Moudouma et ses collaborateurs dont le directeur général de la C2N2I, venus à Port-gentil afin de se rendre compte de l’état du quai de la compagnie de navigation ainsi que son siège.

À l’endroit des autorités locales, Dieudonné Loïc Ndinga Moudouma a informé à ceux-ci l’imminence du lancement des travaux des quais de la C2N2I ainsi que les sièges de la compagnie à Port-Gentil et Libreville. Des travaux qui devraient permettre de remettre sur la table des autorités du CTRI le projet de construction d’un port en eau profonde à l’île Mandji qui devrait permettre à l’instar des futurs ports de Ndjolé voire Lambaréné. Par ailleurs, le ministre a invité les patrons de la province à mettre à jour tous les documents des sites identifiés afin de lancer les travaux dans les normes de la république, des futures infrastructures dans la ville de Port-Gentil.

La Construction d’un Port Fluvial à NDOUGOU, en tant que vivier alimentaire de POG à été également abordé de sorte que le Fleuve devienne enfin une Voie de Communication participant au bien-être des Populations de ces contrées enclavées.

Le Dragage de l’Embouchure OZOUMBOUA, siège de beaucoup de noyades endeuillant des familles est également SIEGE DE BEAUCOUP DE NOYADE une priorité des autorités du CTRI.

Sce Min transport .

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A la Caisse nationale de sécurité sociale (Cnss), après les périodes chaudes que cette entité sociale a connues, l’heure est désormais à l’apaisement, grâce à une direction générale, où le nouveau management est salué par tous. A preuve, lors de la célébration de la fête du 1er Mai, son nouveau Directeur général a, au détour d’un entretien, indiqué, ce qu’il entend faire, voire apporter, pour marquer positivement son magistère à la tête de la Cnss.

Le nouveau DG qui entend insuffler un management humain à la Cnss, n’est pas allé sans équivoque, en déclarant : « Dans une entreprise, les dirigeants ne peuvent pas travailler sans les travailleurs, sans les employés, sans le personnel. Et donc il est de bon aloi que le climat social soit serein et soit bon, soit apaisé et que tout le monde se sente, si vous voulez, impliqué dans la gestion ».

Avec un climat social apaisé, le DG de la Cnss ne peut que se satisfaire de la bonne gestion des ressources humaines. D’où, le premier responsable de la Caisse d’ajouter : « Donc c’est pour ça que nous avons mis en place une commission où nous avons appelé et les représentants des retraités et les représentants des salariés avec la direction de la commission qui est paritaire, donc tout le monde a des représentants à part égale, pour que nous discutions dans le fond des problèmes qui sont ceux de la caisse et qu’ensemble nous déployions un certain nombre de solutions. Ces solutions, une fois qu’elles seront arrêtées, elles seront connues de tous, nous allons les déployer sous le regard vigilant bien sûr du conseil d’administration et effectivement des partenaires sociaux ».

Et dans la même foulée, le nouveau DG qui tient redorer l’image de la Cnss de renchérir : « Ce que nous ne voulons pas, nous ne voulons vraiment pas, c’est que la caisse continue à s’illustrer dans tout ce qu’on a entendu par le passé. Aujourd’hui, nous sommes dans la restitution des institutions. Le président de la Transition, le président de la République, le chef de l’État, le général de brigade Brice Clotaire Oligui Nguema, a dit qu’il ne veut plus qu’on maltraite les Gabonais ». Mieux : « Il a dit qu’on doit rendre la dignité aux Gabonais . Il n’y a pas de sous-gabonais, il n’y a pas de sur-gabonais. Les gabonais ce sont les agents, les gabonais ce sont les assurés de la caisse. On doit mettre tout le monde sur un même pied d’égalité. Je l’ai dit tout à l’heure, il n’y a pas de droit d’un gabonais qui est au-dessus du droit d’un autre gabonais. Donc c’est un peu ce qui prévaut et je pense que ça devra aller. Moi ma porte est ouverte, je reçois celui qui veut me voir, les syndicats, les personnels, pour qu’on puisse travailler correctement, dans la bonne entente et dans le respect mutuel ».

Le DG de la Cnss n’a pas manqué de rassurer les assurés sociaux, d’autant qu’il a indiqué : « Les contributions des Gabonais sont toujours bonnes à prendre. Il faut savoir que la CNSS n’a pas seul le pouvoir de régler tous ces problèmes. Il y a au niveau de la CNSS un certain nombre de textes législatifs et réglementaires à prendre, que le gouvernement s’attend à prendre, qui vont faciliter les choses dans la prise en charge des assureurs. Et les gabonais qui ont donné les contributions sur la caisse, les ont données sur la base d’un VQ, que nous n’allons pas nier ».

Pour ce faire, a conclu l’actuel DG de la Cnss : « Donc aujourd’hui, il nous revient à nous de nous approprier ces recommandations et de les mettre en application sous le regard du gouvernement. Tout à fait, donc il n’y a pas pour moi, il n’y a pas de problème avec cette action et on va les prendre et on va les adapter et on va voir si c’est applicable. Les gilets bleus qui sont les attentes des assurés et des agents ? Les assurés, ils attendent de rentrer dans leurs droits. Quelqu’un qui a travaillé toute sa vie doit avoir sa retraite. Une femme qui va en congé de maternité doit avoir ses indemnités de maternité. Un enfant doit avoir la pension de son parent qui est décédé ».

Kevin-aymard Lelengui

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Vieux de plus de quarante décennies, le chemin de fer Gabonais qui avait eu son temps de gloire dans ses débuts aux années 1978- 80…, avait commencé au fil des années à présenter des signes d’amortissement source de plusieurs incidents enregistrés de temps en temps tout le long de ses 648 km. Après plusieurs mutations, la Société d’exploitation du Transgabonais (SETRAG) est à ce jour le garant de la gestion de cet édifice.

En effet, c’est conscient de ces réalités dûes à la vétusté des ses installations et l’envie de s’arrimer aux nouvelles normes en matière d’exploitation des chemins de fer que la Setrag, filiale du groupe Eramet a, avec ses partenaires dont l’état Gabonais initié le PRN, qui est un vaste programme ambitieux de remise à niveau de toute l’entreprise tant sur le plan technique que social.

Innovations techniques dues au PRN gage des belles performances enregistrées

Longue de 648 Kms, partant de Libreville pour Franceville, le chemin de fer gabonais compte à ce jour, 225 kilomètres entièrement rénovés. Les bi-blocs avec leurs 50 années de résistance ont remplacé les traverses en bois qui exigeaient un recyclage tous les 15 ans. Mieux les rails de 50 kg ont fait de la place à ceux de 60 kg plus solides, durables et mieux adaptés au volume du trafic que subit la voie ferrée. Au cours de ces travaux et obéissant au programme, l’entreprise a procédé au rallongement des voies de croisements dans quatre gars pour le stationnement de trains. Et pour couronner le tout la SETRAG a réhabilité plusieurs anciennes voitures et en acheter d’autres. Ce qui accroît sa capacité de transport.

Forts de ces efforts, le temps de stationnement dans les gares et de détresse des trains, est fortement réduit concourant ainsi au raccourcissement du temps de parcours au grand bonheur des voyageurs dont quelques avis nous ont été donnés.

Pour M.William passager en provenance de Lastourville: « Nous sommes arrivés ce matin à 5h45mn.Une bonne nouvelle pour nombre des passagers que nous sommes. Moi je suis agent d’une banque de la place.En arrivant à cette heure, j’ai le temps de m’apprêter pour mon service. Félicitations à la Setrag! »

P.Amelie embarquée à Moanda n’est pas en reste: « Très franchement je ne sais quoi dire, sinon me réjouir de ce que l’on arrive désormais à temps. Ici suis en transit, car je réside à Port gentil. Après ici, j’irai directement au Port Mole où je dois reprendre mon voyage en bateau et pour cela j’ai tout le temps. Que vivement cela dure! »

À O.Aloise parti de la gare de Booue de dire : « Cette amélioration est certainement due à la pression que met l’Artf sur Setrag. C’est la preuve qu’il y a un réveil de ce côté, ce qui arrange les passagers que nous sommes. Bravo à tous pour les efforts consentis! »

Et à T.Clarisse passagère embarquée à Franceville de conclure : « Le train circule parfaitement de Franceville à Ndjolé ce qui permet de gagner en temps. Lorsque le tronçon Ndjolé- Libreville sera fluide, les délais seront plus courts. Mais aujourd’hui nous nous réjouissons de ce que désormais on arrive le matin, ce qui permet de vaquer à nos occupations« .

Au regard de tous ces témoignages, les dirigeants de la SETRAG comme leurs passagers ne souhaitent qu’une seule chose voir le PRN aller à son terme pour une meilleure exploitation de l voie ferrée.

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Olam Palm Gabon célèbre une avancée significative dans la cadre de son dialogue social engagé avec ses employés dans la négociation de son accord d’établissement.

Signé ce samedi 13 avril 2024 en présence de l’inspection du travail en charge du secteur agricole, les partenaires sociaux et le top management d’Olam Palm Gabon, cet accord met en lumière l’engagement continu de l’entreprise envers ses salariés et vise à améliorer leurs conditions de vie et de travail, tout en promouvant les valeurs de partenariat et de respect mutuel.S’arrimant aux conventions internationales du travail, cet accord assure le respect du code du travail, promeut le bien-être des employés et assure une rémunération compétitive dans le domaine agricole.

Avec un effectif total de 10,568 employés, dont 4,255 employés directs, cette étape essentielle renforce les liens au sein de l’entreprise et témoigne de l’engagement constant d’Olam Palm Gabon envers ses employés, dans le but de créer un environnement de travail équitable et propice à leur épanouissement.

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Le week-end pascal a été fortement marqué par une intense activité politique dans le Grand Libreville. Cela se comprend aisément. A la veille de l’ouverture du Dialogue national inclusif, mardi 02 avril, une mise en branle des politiciens a été perceptible. Chacun avec sa tonalité et ses éléments de langage. Il fallait faire entendre sa voix.

Le Front Patriotique Gabonais (FPG), n’était pas en reste. le samedi 30 mars, pour s’exprimer sur les préoccupations qui sont les leurs, et qui concernent la vie de la nation. Notamment dans le domaine de l’économie gabonaise que le FPG entend changer des paradigmes, pour s’extirper des aspérités des méthodes de gestion peu orthodoxes de l’ancien régime déchu. Il faut éviter les erreurs et errements du passé.

Par la voix de son président, Gérard Ella Nguema, tout en ayant foi à la volonté et au dynamisme du Comité pour la transition de la restauration des institutions (CTRI) de changer la donne, n’a pas moins manqué d’interpeller le « gouvernement sur les choix économiques et d’investissements dans lesquels certains ministres engagent l’Etat ; des choix qui risquent à nouveau de retarder la marche de notre pays vers le progrès ».

L’inquiétude du FPG est à prendre au premier degré, histoire de ne plus retomber dans les travers de la gestion épicière du pouvoir déposé le 30 août 2023, par le général de brigade, Brice Clotaire Oligui Nguema et ses frères d’armes encartés dans le CTRI. Gérard Ella Nguema et les siens insistent que, profitant de la concertation nationale qui s’ouvre ce mardi, que les questions économiques ne soient pas éludées par les participants.

Tout en faisant un rappel des multiples échecs des anciens gouvernements du régime déchu, Gérard Ella Nguema n’a pas manqué de revenir sur la problématique récurrente de la vie chère. Laquelle, selon le président du FPG, que « depuis des décennies, les gouvernements gabonais qui se sont succédé ont utilisé la même méthode pour lutter contre la vie chère ». Et qu’au « lieu d’augmenter la production, il opte à chaque fois pour la mise en place d’une mercuriale et le financement de quelques produits identifiés sur lesquels ils baissent les prix. Mais malheureusement, les prix des produits n’ont jamais cessé d’augmenter d’année en année. Cette méthode se révèle donc inefficace pour lutter contre la vie chère (…) », a ajouté Gérard Ella Nguema.

Gérard Ella Nguema est aussi revenu sur certains grands projets, à l’instar du fer de Bélinga, du manganèse de Moanda, et du rachat récemment de la société pétrolière Assala. Au FPG, on souhaiterait que les conventions avec les sociétés qui exploitent ces ressources minières, pétrolières et forestières ne soient pas biaisées. Que l’Etat, sous l’ère du CTRI ne se laisse pas embobiner avec des contrats qui pourraient encore faire grincer les dents. Que les autorités ne se laissent pas gruger par des partenaires voraces.

Sur le rachat d’Assala, Gérard Ella Nguema s’est longuement prononcé, un brin circonspect : « (…). Si le gouvernement insiste à s’approprier Assala à travers Gabon Oil Company, il y a un risque que cette entreprise ne prospère pas. Les directeurs généraux de Gabon Oil Company ne peuvent pas gérer de façon optimale cette entreprise, ils auront le sentiment qu’ils sont de passage à ce poste, ils profitent du temps qu’ils sont encore là. Assala qui a coûté plus de huit cent milliards à l’Etat gabonais risque d’être revendu à d’autres entreprises internationales à moindres coûts. (…) ».

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