Depuis plusieurs mois déjà le Gabon fait face à la pandémie covid-19 comme tous autres pays du monde. Et suite à cette crise sanitaire, le Gouvernement sur instruction du Président Ali Bongo Ondimba a mis sur pied un comité de suivi qui gère tous les pans liés au coronavirus.

En faisant cette déclaration que nos confrères du site gabonprime.com ont publié, Guy Patrick Obiang et le Copil dont il est le porte parole montrent ils déjà leurs limites? c’est ce que pensent quelques observateurs qui suivent avec attention la gestion de cette crise sanitaire par le dit comité.

Selon monsieur Abessolo Firmin l’un d’eux, pour lui, « le Copil ne peut pas donner satisfactions car son ossature ne répond pas aux critères requises dans la gestion de ce genre de situation » poursuivant,  » Comment écarter un maillon fort de la lutte, qu’est : la communication? Quand nous savons que celle ci joue un rôle important dans d’autres cieux. Non seulement la presse privée locale a été mis hors jeu alors qu’il fallait tenir compte de toutes les sensibilités pour toucher le maximum de personnes, curieux est de constater que même les chaines publiques ne sont pas mieux lotis non plus elle se contentent de diffuser les informations d’un Copil en perte de vitesse, et qui se fait souvent doubler par les réseaux sociaux et autres canaux d’informations, à la limite je crois qu’il prend à la légère cette pandémie covid-19 qui endeuille plusieurs familles ». A déclaré notre interlocuteur.

Emboîtant le pas de son prédécesseur, M Mayombo Gilbert est plus amère pour lui  » un mort de plus est un mort de trop une contamination de plus est une de trop », ajoutant, «  quand Guy Patrick Obiang fait cet Aveu, il s’attendait à quoi ? Pourquoi n’avoir pas confié aux repersonnes requises des responsabilités? pour moi je pense qu’il nous distrait ils doivent assumer leur amateurisme, c’est ce qui arrive à ceux qui veulent jouer le rôle qui n’est pas le leur. Je crois qu’ils feraient mieux de démissionner son équipe et lui s’ils ont un peu de dignité, car pour moi ils ont échoué trop de scandales, je ne sais pas ce que le premier ministre attend pour dissoudre ce comité qui entraîne tout un pays à la dérive » a-t-il conclu.

Pour le troisième larron, »pour prouver leur prise de conscience, les membres du Copil actuel doivent démissionner et laisser une autre équipe mener à bien ce comité pour moi eux et leurs ramifications doivent des explications au peuple gabonais s’ils ont encore une fibre patriotique en eux qu’ils s’effacent »

Aveu d’impuissance ou prise de conscience ? Après de telles analyses, nous vous laissons le soin de trancher.