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Escalade de la crise au sein du Parti REAGIR: François Ndong Obiang et Lionel Persil Essono Ndong exclus

La rédaction 066867376 Globe Infos. La division au sein du Parti politique REAGIR s’intensifie, exacerbée par une guerre de tranchées entre ses membres. Cette crise a surgi des dissensions quant au positionnement du parti concernant le vote en faveur du OUI ou du NON lors du référendum du 16 novembre 2024 dernier.

## Exclusion de Jean François NDONG OBIANG

Le point culminant de cette crise a été l’exclusion récente de Jean François NDONG OBIANG, ancien Président du parti et actuel 1er Vice-Président du Sénat de transition. NDONG OBIANG, porte-voix du vote en faveur du OUI, a été sanctionné par l’aile de REAGIR emmenée par Jean Valentin LEYAMA. Ce dernier, député à l’Assemblée nationale de transition, se positionne comme le principal artisan du vote en faveur du NON au sein du parti.

## Conséquences sur la direction du parti

La sanction ne s’arrête pas là, elle cible également Persis Lionel ESSONO NDONG, désigné par NDONG OBIANG pour occuper le poste de président intérimaire de REAGIR. Cette nomination a été fortement contestée par une partie du directoire, qui voyait en celle-ci une violation des dispositions statutaires du parti. Les mécontents s’élèvent et rappellent que cette décision a été prise unilatéralement.

## Loyauté envers le positionnement du OUI

Lionel Persis ESSONO NDONG, véritable fidèle de NDONG OBIANG, n’ a pas tardé à prendre parti pour le camp du OUI. Il se retrouve ainsi en opposition directe avec les partisans du NON qui soutiennent l’initiative de LEYAMA et son groupe. Ce dernier défend ardemment sa vision politique, suscitant des tensions croissantes au sein du parti.

## L’attente d’une réponse politique

Alors que la crise s’intensifie, l’opinion publique attend avec impatience la suite des événements. La réponse des différents camps pourrait avoir des répercussions significatives sur l’avenir du Parti REAGIR et son positionnement politique après le référendum du 16 novembre dernier. La bataille interne continue d’agiter les esprits et de semer le doute sur la cohésion de cette formation politique nous informe nos confrères de Mazleckinfos.

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