Libreville le 05 décembre 2020 (GLOBE Infos). La crise sanitaire qui continue de secouer le monde entier a fait plusieurs types de victimes au Gabon. L’une d’elles est Jean Marie Ogandaga qui, pendant que la majorité des pays à travers le monde rentrent en récession économique, le Gabon lui, d’après les rapports des institutions financières mondiales sort la tête de l’eau grâce à la détermination et le pragmatisme de son ministre de l’économie et de la relance qui par ce fait est victime d’une cabale médiatique des ennemis de la politique du chef de l’état Gabonais son Excellence Ali Bongo Ondimba.
Les faits
Relevons que depuis un certain temps, le ministre de l’Économie chargé de la Relance Jean Marie Ogandaga fait l’objet d’une cabale médiatique indigeste orchestrée par des partisans du moindre effort et ennemi de la politique du chef de l’état tapies dans l’ombre, ne comprenant pas comment cet économiste qui n’est plus à présenter s’en est sorti pendant ces temps difficiles.
Paradoxe et honteux
Pendant que le Gabon au yeux du monde fait figure de bon élève en matière de bonne gestion économique pendant la crise sanitaire qui a poussé plusieurs états dans une crise économique sans précédent, l’on accuse sans apporter la moindre preuve, l’artisan de cette embellie d’être l’auteur des détournements de plusieurs milliards de FCFA. Des allégations sans fondements. Puisque, ceux qui avancent de telles propos le font dans le seul but de souiller la personne de Jean Marie Ogandaga.
Étonnant
Une source digne de Foi des milieux financiers déclare que: » le ministre de l’Économie ne négocie pas les abattements avec les opérateurs économiques. C’est du ressort des services techniques et notamment des Directeurs généraux des administrations concernées qui arrêtent finalement les montants à payer et une fois que les deux parties se sont accordées, le document final est paraphé par le ministre de l’Économie si le montant est supérieur à 50 millions. En deçà de ce montant, ce sont les Directeurs généraux qui signent le protocole d’accord de payement ». « Nous pouvons donc conclure que les documents exhibés par la presse et dans les réseaux sociaux ne sont pas une preuve de détournement, puisque ce sont les Directeurs généraux des Douanes et des Impôts qui mènent toutes les négociations avec les opérateurs économiques donc, s’il y a des explications à donner, ce sont ces derniers qui devraient les fournir ».
Mieux pour un ancien Conseiller en Douanes du ministère de l’Économie, “les abattements et autres réductions négocier entre le Directeur général des Douanes ou des Impôts, et les opérateurs économiques. Tous les ministres de l’Économie ont eu à signer ces protocoles que leur soumettaient les Directeurs généraux. Il n’est donc pas un acte de détournement ou de corruption. Selon les mécanismes, les amendes peuvent passer de 40 milliards à 3 ou 4 milliards. Et ça tous les financiers le savent. Sauf à faire dans la mauvaise foi, il n’y a pas sujet à polémique” a conclu cet haut cadre des Douanes qui vient de prendre sa retraite.
Conclusion
2023 approche à grands pas les brebis égarées qui n’ont rien à proposer au finish développent un nouveau moyen d’exister. Décision malsaine qui, à la fin du processus va dévorer ses propres initiateurs, car pour le Ministre de l’économie, le chien aboie la caravane passe. Seul le résultat compte.