Libreville, le 23 décembre 2023 Globe Infos.
Port-gentil la capitale provinciale de l’Ogooué Maritime subit depuis deux près de semaines les affres de dame SEEG qui, depuis cette fourchette de temps fait de l’énergie électrique une denrée rare dans les ménages de plusieurs quartiers de la capitale économique gabonaise, nous apprend une source locale, comme si la dame des eaux du Gabon attendait le passage du numéro un Gabonais pour renouer avec ses vieilles habitudes! S’exclame-t-elle.
Comment comprendre qu’au moment où certains riverains se préparent à célébrer pendant cette semaine festive la libération du Gabon par le CTRI de Brice Clotaire Oligui Nguema cette fin d’année, dame SEEG elle, décide de dicter sa loi par de multiples coupures d’électricité.
Pour ces abonnés qui, d’après des témoignages n’ont reçu aucun communiqué ou explications, subir reste leur seul et unique moyen d’existence.
« À dire vrai, ce mépris affiché par cette entreprise à l’endroit de sa clientèle que nous sommes doit s’arrêter » a souligné un consommateur.
« La SEEG n’a pas que des droits ! Elle a aussi des devoirs. Nous payons nos consommations c’est pas comme si c’était de la charité. En tant que client nous avons aussi nos droits c’est pas possible ! » S’est indigné un riverain qui vit très mal cette situation.
» Nous sommes fatigués. Après le stress hydrique que nous impose cette société qui a le monopole de tout depuis plusieurs années, c’est maintenant l’électricité qui devient une denrée rare en période de fêtes de fin d’année ! » A déclaré un autre.
« Qu’avons-nous fait pour subir ça! La SEEG se fout de nous elle nous ruine financièrement et psychologiquement. Vivement que les plus hautes autorités gabonaises puissent minutieusement se pencher sur le cas SEEG dont le monopole devient un supplice pour nous ,sa clientèle. » A enfoncé le clou un autre consommateur qui ne sait à quel saint se vouer.
Au regard de ce qui précède la SEEG gagnerait à redorer son blason auprès de ses abonnés qui n’en peuvent plus.
À lire prochainement dans nos colonnes/ SEEG: QUAND LE MONOPOLE DEVIENT UN SUPPLICE POUR SES ABONNÉS.
Un dossier Spécial.