Libreville le 20 février 2020 (Globe Infos). Adopté le mois dernier, lors de la rencontre entre les autorités en charge de l’éducation, les partenaires sociaux du secteur, et les associations des parents d’élèves, les fouilles inopinées des élèves à l’entrée de chaque établissement public sont perçus aujourd’hui comme étant un signal fort, et une alternative fiable dans la lutte contre l’insécurité en milieu scolaire au vu des résultats qu’elles livrent.
Depuis leurs mises en exécution, le bilan des découvertes est très lourd. Et sur ce point, le C.E.S d’Alenakiri n’est pas une exception car la qualité et quantité d’objets trouvés sur les apprenants de cet établissement de la capitale Gabonaise, commune d’owendo laissent à désirer, et donnent la chair de poule comme on le dit au quartier. Les policiers en charge de la fouille à l’entrée de celui ci ont trouvé( des couteaux, drogues, ciseaux, compacts, alcool, comprimés etc.. .)
Cette situation peu reluisante débouche sur plusieurs questions qui taraudent les esprits des uns et des autres depuis la mise en place de cette opération et surtout à cause des résultats qu’elle livre. Dans tous les établissements où elle est appliquée, le résultat est le même. Comme un seul homme les élèves se sont livrés mains et pieds liés à la violence, sèmant ainsi la terreur auprès de leurs camarades et même de leurs encadreurs.
Dans notre prochaine parution sur ce dossier notre rédaction va vous livrer son analyse en répondant à ces quelques questions.
-Pourquoi cette montée soudaine de cette violence?
– À qui la faute?
Quels sont les pistes de solutions pour y remédier ?
STR pour Globe Info