Libreville, 28 juillet 2023 globe-infos.com
Une structure hôtelière de la capitale gabonaise Libreville, a servi de cadre ce 28 juillet courant, aux candidates Elza Ritchuelle Boukandou et sa suppléante Tancia Bourobou Bourobou, pour la tenue d’une conférence de presse suite à une rocambolesque histoire de rejet de leur candidature au CGE, au compte des les élections législatives avenir.
Dans leurs préambules, curieux est de constater que l’auteur du recours qui a conduit au rejet de leur candidature n’est autre qu’Yves Fernand Mafoumbi le député sortant et actuel ministre Gabonais de l’agriculture. Mieux les méthodes utilisées pour arriver à ses fins sont dignes d’un film de Bollywood.
De cet échange il en ressort ce qui suit :
» Yves Fernand Mafoumbi est un géant aux pieds d’argile. Il est conscient qu’il va être battu à la régulière. Comme plus personne n’en veut, alors, il veut que notre candidature soit rejetée afin qu’il soit le seul candidat. Mieux il prétend que ma suppléante est militante du PDG alors qu’il n’en est rien. Pensez-vous que l’on adhère dans un parti sans suivre le règlement intérieur de celui-ci ? Non bien évidemment c’est de la bassesse, ce que tente de faire celui qui crie partout qu’il est incontournable. » A résumé Elza Ritchuelle Boukandou.
« J’ai été piégé par ma propre sœur et mon frère l’année dernière. Ils m’avaient fait croire que la fiche qu’ils me demandaient de signer suite à leur appel, était pour l’obtention d’un permis de conduire, (que je n’ai pas encore reçu jusqu’à ce jour). Je suis étonné qu’on me dise que je suis une militante du PDG alors que jamais j’ai mis mes pieds ou prendre part à une seule réunion. Mieux qu’elle est cette adhésion où les règles établies par le parti sont bafouées? Notamment ses articles 12 et 13 de son règlement intérieur ! » S’est exclamé Tancia Bourobou Bourobou.
Au regard de ce qui précède, les deux dames estiment que, leur paire, (Elza Ritchuelle Boukandou et sa suppléante Tancia Bourobou Bourobou), font peur à un Yves Fernand Mafoumbi en perte de vitesse car, vomit par les populations qui trouvent désormais en cette paire l’arme fatale pour arriver au changement qu’elles aspirent depuis belle lurette.