Voilà une décision qui égaie plus d’une personne. Prise Lors du Conseil des Ministres tenu ce vendredi 29 mars 2019 et présidé par Ali Bongo Ondimba Président de la République Chef de L’état, dans la salle habituelle de la présidence « c’est celle renvoyant le sulfureux haut représentant du Président de la République Gabonaise, et actuel roi de Dahomey au Bénin, à son administration d’origine ».
Après lecture de ce communiqué des cris de joies ont été entendus ça et là dans la capitale économique Gabonaise (Port-gentil), démontrant ainsi la profondeur du dégoût que la présence de ce monsieur crée au sein de la population Gabonaise.
En tendant notre micro pour en savoir plus, M Jean François Ndong résidant à Port-gentil a ironisé en disant ce qui suit: « pour la première fois une décision de conseil des ministres est plus que claire et facile à interpréter » il poursuit en disant que » M Accrombessi va vraiment regagner son administration d’origine qui est le Bénin son pays natal, car il était en mission de pillage au Gabon, affecté il y a quelques années par l’instance supérieur du mysticisme Beninois » et sa mission étant accomplie couronnée par un AVC, il doit maintenant repartir comme roi vu l’importance du butin qu’il a pu emporter ».
Pour Steve jeune Gabonais chauffeur de taxi « ce Monsieur nous a volé il mérite d’être arrêté, ce qui me dérange a-t-il poursuivi c’est que certains compatriotes ont facilité ce qui est considéré aujourd’hui comme le plus gros scandale financier de L’histoire de notre jeune Nation » pour terminer il dit, » mieux vaut tard que jamais enfin une prise de conscience, nous osons croire que cette décision est vraiment effective ».
Une chose est sûre le « règne » de Maixent Accrombessi comme tout puissant directeur de Cabinet à la présidence de la République a marqué à jamais les esprits et laissé des traces indélébiles. Le sulfureux personnage a pillé, saccagé à la démesure les finances publiques Pendant plusieurs années, le popo dahoméen s’est huilé à l’excès. Ce seront les pires années de notre histoire.
Bon vent à lui dans son administration d’origine.