Le samedi 05 décembre courant, les membres et sympathisants de la Convention nationale des syndicats du secteur éducation (Conasysed), ont tenu une assemblée générale à leur lieu habituel, (le terrain de Basket d\’Awendje), au cours de laquelle Louis Patrick Mombo et les siens ont déclaré ne pas vouloir être complice de la mort du système éducatif National par sa privatisation que lui inflige les autorités locales. les membres et sympathisants de la Convention nationale des syndicats du secteur éducation (Conasysed), ont tenu une assemblée générale à leur lieu habituel, (le terrain de Basket d’Awendje), au cours de laquelle Louis Patrick Mombo et les siens ont déclaré ne pas vouloir être complice de la mort du système éducatif National par sa privatisation que lui inflige les autorités locales.
Après plusieurs années d’observations marquées par une suspension, la Conasysed a marqué samedi dernier son grand retour sur l’arène de la contestation avec un seul mot d’ordre « sauver le système éducatif National qui est condamné à une mort certaine si nous ne faisons rien » a déclaré Louis Patrick Mombo.
Au grand Maux de grands médicaments. Pour les membres et sympathisants de la Conasysed, un mouvement d’humeur est indispensable mais seulement une période de sensibilisation a été donné allant de ce 05 décembre au 07 janvier 2021 car le 08 janvier 2021 se tiendra une assemblée générale dite de tous les dangers dans le cas où, la tutelle et ses partenaires sociaux n’arrivent pas à se mettre d’accord sur les points qui fâchent à l’exemple: le manque d’infrastructures d’accueil dans les établissements publics, la non régularisation des situations administratives, la non organisation des concours de l’Ecole nationale des instituteurs (ENI) et de l’Ecole nationale d’enseignement supérieur (ENS), du non paiement des vacations, le non paiement des rappels solde, le non paiement des vacations du Bac et des examens de l’enseignement technique et professionnel session 2020, le refus du gouvernement de procéder aux nomminations régulières des chefs d’ établissements et autres personnels admnistratifs. la régularisation de la situation administrative des enseignants, du nombre d’heures de cours par semaine, qui sont passées de 6 au minimum à 4 pour des matières clés etc… pour ne citer que ceux-là le nombre étant légion.
« l’État gabonaise a décidé de sacrifier l’école publique gabonaise pour créer des contrats avec les promoteurs privés. Nous sommes dans un plan bien huilé. Celà implique le statut de l’enseignant qui risque de devenir non plus un agent public mais un agent contractuel avec le privé. C’est la raison pour laquelle ce gouvernement refuse de s’investir dans la construction des établissements » a déclaré Louis Patrick Mombo en fixant le drone qui survolait le lieu de la rencontre.
Au regard de ce qui précède, l’opinion publique attend déjà avec une attention particulière la date du 08 janvier. Surtout lorsque la présence de Jean Rémy yama sur les lieux n’est pas passé inaperçue, venu manifester son soutien indéfectible à la première cheville ouvrière de dynamique Unitaire dont il est le président, et que les positions face au gouvernement actuel sont connues de tous.