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Les dées sont jetées pour le référendum constitutionnel. Et dès lors certains adeptes du lesse moi passer et du tout pour moi rien pour les autres gesticulent et appellent à voter le non sans proposer mieux. Pris au piège par la détermination du président de la transition Alain-Claude Bilie-By-Nze et Albert Ondo Ossa chercherait un second souffle.
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Le 5 septembre 2023, Brice Clotaire Oligui Nguema, après avoir renversé le régime autoritaire d’Ali Bongo, a surpris le professeur Albert Ondo Ossa par une visite inattendue. Ce geste, chargé de signification et de traditions africaines, symbolisait une réelle volonté de réconciliation, où le cadet s’incline devant l’aîné, malgré leurs différends. Ondo Ossa, qui avait jusque-là décliné les invitations au dialogue, se trouva face à un acte de respect et de paix émanant du nouveau leader du Gabon. En dépassant les tensions électorales et les divisions politiques, Oligui Nguema démontra une fois de plus sa capacité à rassembler, prêt à unir une nation fracturée.
Cependant, malgré cette ouverture, Ondo Ossa demeura campé sur sa position d’opposition, refusant de reconnaître les efforts de conciliation. L’histoire se répéta quelques semaines plus tard, le 27 septembre, lors d’une rencontre décisive au Palais présidentiel. Alors que le pays attendait des avancées concrètes vers l’unité, des rumeurs de pots-de-vin et de compromissions entourèrent la figure du candidat consensuel, ternissant son image. Mais le silence d’Ondo Ossa ne fut que temporaire, car il revint sur le devant de la scène, cette fois soutenu par Manganga Mousavou et l’ancien pilier du régime autoritaire de Bongo, Alain-Claude Bilie-By-Nze, dans une tentative de discréditer la nouvelle direction du pays.
Leur cible commune ? La nouvelle constitution, dont le référendum approche à grands pas. Ils s’apprêtent à mener une campagne pour le « NON », cherchant à saper les réformes mises en place par Oligui Nguema. Cependant, face aux transformations concrètes apportées par le président, leur croisade semble vouée à l’échec. Bilie-By-Nze, lourdement accusé de crimes économiques et de complicité avec le clan Bongo, n’a aucune légitimité pour prétendre défendre les intérêts du peuple gabonais. Quant à Ondo Ossa, malgré son passé de candidat consensuel, son discours paraît désormais déconnecté de la réalité actuelle du Gabon.
Le peuple gabonais voit en Oligui Nguema un libérateur, celui qui a redonné espoir à une nation longtemps étouffée par la tyrannie et la corruption. Grâce à des réformes tangibles, telles que l’amélioration des conditions des fonctionnaires, des retraités et des élèves, ainsi que la construction d’infrastructures vitales, le chef de l’État a su regagner la confiance d’un peuple en quête de changement. Face à ce bilan indéniable, ceux qui prôneront le « NON » lors du référendum s’adresseront à une audience désintéressée.
Oligui Nguema, respecté et aimé, incarne l’avenir d’un Gabon en pleine reconstruction. Ses détracteurs, quant à eux, errent dans l’ombre, incapables de convaincre une population désormais consciente des bénéfices concrets du renouveau politique. Le « OUI » au référendum sera non seulement une approbation des réformes, mais aussi un vote de confiance envers celui qui a su transformer la vie des Gabonais, tandis que Bilie-By-Nze et Ondo Ossa n’auront d’autre choix que de constater leur propre impuissance.