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Une somme colossale de 300millions se volatilisent chez les Y’Obengue.

D’après une source digne de foi, Akbar Onanga Y’Obengue aurait perdu une bagatelle somme de 300millions de nos francs qu’il avait soigneusement planqués dans l’une de ses résidences d’Akanda. Autant d’argent dans une maison! Mystère. Il faut dire que pour le Roi teké depuis sa disparition des radars du gouvernement et aujourd’hui du parti, l’enfer s’est complètement installé chez lui.

Dans ses somptueuses villas jumelles d’Akanda c’est la psychose mélangée à la névrose. Les résidents ont été interrogés, mais personne n’a osé avouer. Il paraîtrait même que cette disparition d’argent intervient au moment où le roi est en dissonance avec une de ses épouses qui menace d’aménager avec un ministre de la même région que le couple en dislocation.

SI l’information sur la disparition de 300 millions venait à être confirmée, il sera tout de même regrettable que notre pays ait connu des pietres gouvernants de la trempe d’Onanga, alias Romuald Lekogho. Car comment comprendre que quelqu’un puisse garder autant d’argent à la maison si la provenance de ces fonds est saine?

L’opinion voit derrière cette affaire une occasion de mener des investigations sérieuses sur la source de cette énorme somme d’argent, au moment où la crise économique s’accentue dans le pays certains comme Romuald Lekogho eux se font voler 300millions de francs 1/3 du milliard à la maison. La même opinion publique voit là une occasion en or de mettre en pratique l’un des éléments clés du discours du chef de l’état du 08/06 2019 dernier sur l’impunité et les détournements.Certaines questions sont même déjà posées pour aider les enquêteurs à investiguer par exemple sur la gestion de la cagnotte mis à sa disposition pour le recensement des fonctionnaires et autres agents publics. Une opération qui devait s’étendre dans les province et que lui même a reconnu lors d’une conférence de presse qu’elle a été un échec.

En effet, d’après nos sources, voilà quelqu’un qui dupe au quotidien les gabonais par ses fausses apparences. L’image d’un pieux musulman ou d’un rigoureux intellectuel. De tout cela, Onanga n’en a pas, car l’imposture, le faux, la ruse ne peuvent être des qualités, voilà pourquoi l’homme a été viré au gouvernement et au parti. Au sud est, région où il est né personne n’ose lui adresser la parole de peur d’avoir sa poisse.

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