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Vie des entreprises/ SETRAG : des victimes imaginaires pour semer la discorde

Libreville le 16 décembre 2020 (Globe infos). L’entreprise SETRAG et son directeur général font face depuis un moment à une cabale médiatique visant à semer haine, doute et division dans le seul but de freiner la bonne dynamique lancée par l’actuel Directeur Général depuis le 20 octobre dernier, date de sa nomination.

Rappelons à toute fin utile que Christian Magni est un ingénieur en mécanique de formation qui a intégré la Setrag en 2015, où il va gravir les échelons, occupant plusieurs postes de responsabilité dont ceux de directeur des infrastructures ferroviaires et de DG par intérim (une fonction qu’il a brièvement exercée en 2019 et en 2020 en remplacement de ses prédécesseurs démissionnaires). Avant la Setrag, il travaillait au sein de la Compagnie minière de l’Ogooué (Comilog), filiale du français Eramet. Donc c’est pas un arriviste comme veulent le faire croire ses détracteurs.

En fin tacticien l’actuel Directeur Général a su imprimer sa marque de fabrique par son dynamisme et son haut sens du devoir loin des supposés clivages ethnique et politique comme a voulu le faire croire nos confrères en d’éthique et de déontologie journalistique. D’ailleurs le climat qui prévaut au sein de la Setrag depuis le 20 octobre dernier, date sa nomination est totalement différent de celui décrit par notre confrère qui a utilisé la Division par opposition entre compatriotes en dressant une liste fallacieuse des supposées victimes.

Celà est un manque de scrupule dont le seul objectif visé est de faire croire à l’opinion publique, mais aussi le directeur général et les administrateurs que se seraient ces derniers qui auraient saisi la presse pour nuire à la bonne marche de l’entreprise.

Analyse scabreuse

Parce que Awwandji de Moanda comme un certain Batolo, lui aussi issu du même groupe ethnique, Christian Magni ne devrait pas être nommé directeur général. Un raisonnement invraisemblable, puisque le Gabon garanti au plus méritant la place qui lui revient. Pourquoi rédiger des articles dénonciateurs et calomnieux plutôt que de révéler les défis qu’il a relever durant le mandat que lui a été confié, c’est faillir au rôle d’une presse responsable que nous aspirons tous et rendre un mauvais service aux supposées victimes ici dénoncées, et à la nation.

L’opinion publique se pose déjà la question de savoir : Que se cache-t-il derrière la cabale médiatique, et harcèlement des services spéciaux contre un compatriote et pourtant disposant d’un background apprécié par les administrateurs et l’actionnaire unique Eramet?

RTS pour GLOBE Infos

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